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Divines et Innocentes

Divines et Innocentes

Une révélation fatale.

L'initiation libertine d'une femme mariée qui va s'enflammer pour de nouvelles expériences, prête à s'aventurer avec l'homme de sa vie dans le libertinage... Mais sa rencontre avec Julie, libertine de 20 ans son aînée, va littéralement bouleverser ses orientations sexuelles, un déclic aussi libérateur que fatal. 

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Sandrine. Gentille, douce et attentionnée, tantôt elle démontre un caractère sage et docile mais, lorsque la passion l’emporte, elle peut se révéler sexy et espiègle.

  

Pourtant, il y’ a toujours une certaine retenue en elle, comme s’il lui manquait un brin de folie et d’audace. Elle en est consciente et en connaît les raisons.

Écoutez son histoire.

Sandrine avoue : " Après plusieurs années ensemble tous les couples cherchent de nouvelles sources d’excitation pour éviter la routine et la monotonie. Avec l’idée que l’amour du conjoint nous est acquis, on néglige souvent de se soucier de son apparence comme on avait l’habitude de le faire au début de la relation. Depuis que j’ai osé l’échangisme, nous avons changé notre perspective et nous faisons, mon mari et moi, de plus grands efforts pour se plaire mutuellement. Mais cela a été un long travail sur nous-même, basé sur la confiance, le dialogue et notre amour l’un pour l’autre. Cela n’est pas venu du jour au lendemain.
Les désirs sexuels s’estompent aussi avec le temps, la preuve est que la plus grande cause de divorce est l’infidélité. Boulot-dodo, le stress, les enfants qui accaparent toute notre énergie, nous délaissions sans le vouloir notre intimité. Et, au lit, je n’étais pas ce qu’on peut appeler une bombe sexuelle. Peu d’étincelle au fond du ventre, pas de grand frisson, le désir ne m’emportait pas très loin alors que je sentais qu’il suffisait de peu pour avoir le déclic libérateur. Bien sûr, il m’arrivait d’aimer ça quand on le faisait, mais c’est lui surtout qui était le plus demandeur, cela venait rarement de moi-même.

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Il prenait toujours les devants, arrivant tout de même, à force de patience, à m’emporter là où il le voulait, sur le chemin voluptueux du plaisir.

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Évidemment, du plaisir, j’en avais mais, sans que je puisse l’expliquer, il me manquait quelque chose. Je ne sais pas quoi, le petit truc en plus pour que j’apprenne enfin à me lâcher. Ma libido s’est améliorée quand j’ai trouvé le petit piment qui me faisait défaut : le fantasme, et plus particulièrement une envie d’aller voir ailleurs. Je ne sais pas pourquoi, et je m’en suis rendue compte tout bêtement en tombant un jour par hasard sur une revue porno que des collègues de boulot avaient laissés traîner sur un bureau. Je l’ai feuilletée à la va-vite, passant sur les pénétrations hommes et femmes qui me faisaient beaucoup d’effet et stoppant nette sur des photos de lesbiennes qui s’embrassaient et se caressaient avec une intensité incroyable.

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Là, c’est comme si on m’avait donné un coup de poing en plein ventre, j’ai trouvé cela hyper érotique et hyper excitant. Le soir, c’est moi qui suis allée trouver Marc car j’avais réellement envie de faire l’amour, avec une fougue et un appétit qui nous a surpris tous les deux. Avec mon mari, on se dit tout, et je lui en ai donc tout raconté. Il a rien dit, mais la semaine d’après il a loué une cassette d’un film x lesbien, et cela m’a fait le même effet incroyable, comme si j’étais une autre. Marc, lui, était heureux et comblé, et cela est devenu un jeu entre nous, un aphrodisiaque qui était notre petit jardin secret pour pimenter notre vie sexuelle lorsqu’elle retombait dans la monotonie. Cela a duré sept ans. Mais, avec les années qui passent, ma vie sexuelle qui s’affirmait, ces petits jeux innocents ne me suffisaient plus, j’avais de plus en plus envie de tenter l’expérience avec une fille, cela me troublait et m’effrayait en même temps : la certitude d’adorer ça, et la peur aussi de trop aimer ça justement… Inconsciemment, j’avais d’autres réactions au lit, cherchant davantage les préludes, les préliminaires et la sensualité qui, avec Marc, ne répondaient pas vraiment à mes attentes. Il me caressait avec des mains d’homme, et c’étaient un corps et des mains de femmes que mon corps exigeait. Contre cela, il ne pouvait rien faire. "

Sandrine continue de témoigner : Mon mari et moi sommes passés à l’acte. Je ne le remercierai jamais pour sa confiance, mon amour n’a cessé de croître lorsqu’il a compris mes envies, me comprenant et m’acceptant tel que j’étais. C’était pour moi la plus belle preuve d’amour. Avant le jour J, j’ai constaté que mon corps commençait à réagir différemment. Toutes les fibres de ma sensualité étaient en éveil, comme à l’approche d’un fruit défendu. Je ne sais pas ce que c’était, le danger de ce qui m’attendait, l’interdit, le renouveau, mais en tout cas cela avait un effet délicieusement agréable sur ma libido. Mais, en même temps, quelque chose me tracassait. L’idée que Marc se retrouve en retrait lorsque je viendrai à le faire avec une fille me dérangeait, c’est comme si je le mettais volontairement à l’écart, l’excluant alors que je risquais de prendre un plaisir fou avec une autre personne. L’imaginer souffrir, se torturant moralement en s’imaginant ce que je faisais égoïstement dans les bras d’une femme me semblait cruel, et je ne voulais pas qu’il me le reproche un jour. Alors l’évidence s’est imposée. Je tenais à sa présence, qu’il partage avec moi ce moment unique et sans doute merveilleux. Qu’il me voit avec cette fille et, ensuite, lorsque j’en aurai envie, qu’il vienne nous retrouver. Cela me rassurait, l’avoir à mes côtés. Ainsi, nous le ferions ensemble, un lien encore plus fort qui nous rapprocherait, un bonheur partagé.

La magie a opéré dés que je suis entrée dans cette discothèque libertine. La peur de l’inconnu, l’insolite du cadre et des gens, cette ambiance sensuelle, chaude et électrique avec tous ces couples qui flirtaient partout. Déjà, j’étais troublée, et jamais je ne me suis sentie aussi belle, aussi désirable, avec de l’audace dans ma façon de danser, de bouger. Je me sentais femme –avec un grand F – et vivante. Puis une femme ne cessait de me dévorer du regard, elle était belle, indécente et sexy. Déjà, j’étais conquise. Elle est venue s’installer à côté de moi et on a commencé à parler. Mon mari, qui se sentait en trop, est parti au bar.

Lors de ma première expérience, l’autre femme – Eve -
(appelons-la Eve), m’a dit que, bien qu’en couple avec un homme, elle avait toujours été attirée par les femmes et fréquentait uniquement les clubs échangistes pour ce genre d’expérience. Eve m’a présentée une amie, Julie, une blonde de quarante ans, très extravertie et volubile, et drôlement sexy. Je l'avais déjà remarquée sur la piste à danser avec un sex-appeal fascinant. Sensuelle, agile, pas une once de graisse, les membres bardés de muscles solides avec des formes généreuses, une femme qui prenait soin de son corps et le savait, sans aucun doute...

Après avoir fait connaissance, elles m’ont proposées d’aller dans une chambre et de faire plus intimement connaissance. J’étais paralysée par la peur – et l’excitation aussi – et je voulais surtout l’accord de mon mari. Du bar, il a acquiescé de la tête, me donnant ainsi son autorisation.

 Ainsi, je me suis retrouvée sur un lit avec ces deux femmes que je connaissais à peine et, après quelques banalités, elles ont commencé à me toucher le visage et les épaules, cherchant un contact de plus en plus précis. J’étais paralysée par l’appréhension, et mon visage devait exprimer une telle tension

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qu’elles m’ont mises en confiance, me parlant, me rassurant, avec le libre-arbitre de tout arrêter quand je le voulais. J’ai réussi à parler – à croasser plutôt – exprimant mon inquiétude : n’ayant jamais eu de relations homosexuelles, il me paraissait disproportionné de commencer avec deux femmes en même temps ! Julie s’est alors mise en avant, exprimant son désir d’être ma première femme, que son savoir était illimité, son expérience infinie, et que je ne regretterais jamais nos ébats lesbiens. Elle savait se vendre car je n’ai trouvé aucune hésitation à formuler. Alors elle a commencé à me caresser par-dessus les vêtements, lentement… Jusqu’à ce moment-là, tout allait bien. Eve m’a pris la main pour que je me mette à la caresser,

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puis aussi à toucher aussi Julie,

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que je ressente un contact tactile différent, extrêmement sensuel. Ensuite, elle s’est rapprochée pour venir me caresser les seins avec les mains, me poussant peu à peu dans les bras de Julie..

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Puis, cette dernière m’a embrassée. Cela a été le déclic. Le baiser d’une femme est incomparable, elles ont une façon incroyable dont elles ont seules le secret pour donner la chair de poule, c’était renversant et fabuleux.

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Sandrine ne peut pas lutter contre ses propres démons qui, enfouis depuis trop longtemps, s’éveillent avec une trop forte intensité. Elle trahit ses désirs secrets dans l’intimité même avec un mari qui, malgré ses efforts, se laisse vite dépasser par les événements. La sexualité révèle notre vrai visage. Durant l’acte sexuel, certains gestes, positions, circonstances nous émeuvent plus que d’autres : ils s’adressent à des tendances de nous-mêmes dont nous n’avons pas conscience. Une jeune femme ne s’épanouit qu’avec des partenaires doux, attentionnés, préfère le plaisir qu’elle reçoit, n’aime pas trop donner, avec une préférence pour les préliminaires raffinés et les préludes plus subtils, et une fascination pour les images érotiques montrant deux femmes ensemble : elle aura des envies latentes de bisexualité ou de vraies tendances homosexuelles…Ainsi, c’est dans l’excitation que tombe le masque social, dévoilant son vrai visage.

Voilà la suite de ses confessions.

C’est à peine si je me suis rendue compte que l’autre femme nous laissait.

Je suis littéralement tombée dans ses bras à flirter comme une gamine de 12 ans qui découvre brutalement ses premiers émois amoureux. Puis elle m’a prise par les mains pour m’amener au fond du lit, m’installant confortablement. J’avais les jambes qui tremblaient, avec un mal fou à respirer, et j’ai commencé à ne plus rien contrôler lorsqu’elle s’est glissée entre mes jambes, se frottant contre moi avec une volupté incomparable,

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simulant la pénétration alors que nous étions toutes les deux encore habillées. L’excitation est montée d’un coup, me laissant au bord d’un plaisir inouï qui me laissait au bord du précipice, dans un état de frustration incroyable. Je crois que j’ai crié, la suppliant d’aller plus loin.

Elle avait une façon diabolique pour me caresser et faire monter mon désir de plusieurs degrés. Je n'ai jamais vu faire un geste aussi érotique et expert. C'était infernal.

- Ce n'est que le début ma chérie ! Je veux que cela dure jusqu'à l'Insupportable.

Elle a fini par avoir pitié de mon supplice et j’ai eu mon premier orgasme alors qu’elle s’est mise à me caresser par-dessus mon string. 

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Mais, avec un sadisme raffiné, elle m'a laissé sur ma faim.

 

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Quand elle a ôté mon haut et m’a dévoré la poitrine avec un appétit insatiable,

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c’est tout mon corps qui vibrait à l’unisson, adorant et réclamant cette bouche féminine de tout son être. Un désir encore plus trouble m’a emporté lorsqu’elle a commencé à se déshabiller, ôtant son haut, dévoilant une poitrine lourde que le soutien-gorge avait du mal à contenir. J’en avais la tête qui tournait. C’est d’instinct que j’ai eu envie de les toucher, de la main d’abord,

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en tremblant comme une feuille, puis de la bouche, avec une gourmandise si féroce que cela en était effrayant." 

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Ses tétons étaient volumineux. Des boutons de rose assez larges et sculptés dans du corail rose pâle. Une merveille. Dans la chair crémeuse, les tétons se dressaient, réagissant avec délice aux sollicitations de ma langue.

J’ai osé caresser une autre femme. Longuement. Y prenant un plaisir inouï.
Enfin, pour la première fois de ma vie, je pouvais sentir un sein ferme au creux de ma main qui n’était pas le mien.

Ce qui m’a le plus frappé, c’est la douceur, jamais je n’avais pu sentir à quel point le sein d’une femme est doux et de sentir se dresser son mamelon dans ma bouche, ce petit chatouillement que cela procurait, j’ai adoré.

Nous nous sommes caressées mutuellement de longues minutes, échangeant baisers mouillés,

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tantôt tendres ou passionnés, puis elle a repris les rênes, bien décidée à mener la danse, sa danse, de celle qui a déjà de l’expérience et veut imposer son rythme.

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Lorsqu’elle a posé sa bouche sur mon sexe, j’étais prête à m’évanouir tant le plaisir était intense.

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J’ai eu deux autres orgasmes successifs qui m’ont littéralement bouleversés. J’ai hurlé de plaisir.

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Puis, à mon tour, j’ai franchi la ligne rouge, osant caresser une autre femme. Tandis qu’elle se frottait sur moi, je lui ai donné du plaisir, la caressant par dessus son sous-vêtement,

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C’était si érotique que mon désir, malgré tous mes orgasmes, est reparti de plus belle, prêt à affronter d’autres délices bien plus intenses encore. Lorsqu’elle m’a abandonné pour fixer autour de sa taille un gode-ceinture, j’ai crû défaillir. Durant nos précédents ébats, il m’avait semblé entendre un mouvement derrière nous, et je soupçonnais là la complicité de Eve, apportant dans la plus grande discrétion ce gadget. J’avais les jambes qui tremblaient en me déshabillant,

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et mes tremblements n’ont fait que s’accentuer lorsqu’elle m’a pénétrée avec cet engin divin, si long et si dur, qui m’investissait totalement, allant au plus profond de moi-même.

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Le plaisir m’a tétanisé, m’emportant dans des contrées que j’ignorais, le plus loin possible, bien au-delà de mes ressources.

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Pendant cette étreinte à la fois divine et bestiale, elle démontrait une condition physique d'une athlète bien entraînée et, surtout, très endurante, me labourant de longues minutes, imposant son rythme, jouant avec mes nerfs. Durant ces affrontements intimes, elle rassemblait toute son énergie pour me soumettre, attisant d'autres envies et orgasmes quand je croyais mes limites atteintes.

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Puis, étrangement, d’autres besoins sont montés en moi. L’envie d’un homme, d’un sexe d’homme. Mon homme. Il était là, pas loin, à regarder, et quelle choc émotionnel quand nos regards se sont croisés. Il était partagé entre jalousie et désir, tristesse et excitation, et il a compris que je souhaitais sa présence.
Là, j’ai vécu l’extase. Deux personnes qui me
caressaient, m’embrassaient, me léchaient

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et je me disais :
 » Wow ! c’est extra ! Deux personnes pour moi toute seule. Une femme, avec son corps et ses caresses uniques, et un homme, celui que j’aime, avec son corps et ses caresses uniques. Moi qui adore les préliminaires, j’étais aux petits soins, les caresses pleuvaient de la tête aux pieds sans qu’un centimètre de ma peau soit épargnée. C’était vraiment merveilleux ! La femme avait abandonné son gadget pour utiliser toutes les parties naturelles de son corps, dépassant de loin en audace et perversion mon mari qui ne savait plus trop quoi entreprendre pour me procurer d’autres sensations. Un moment, j’ai constaté qu’il avait aussi envie de caresser cette fille, mais le pauvre n’osait pas ! Il était tellement touchant ! Alors je l’ai encouragé à le faire, et cela m’a excitée au plus haut point de le voir faire l’amour à une autre fille. Elle avait des ressources incroyables, brûlante comme de la braise, et une pointe de jalousie me serrait aussi le cœur lorsque je la voyais faire à mon mari des choses que je ne lui avais jamais fait, comme lécher ainsi son sexe et aussi les fesses, en partant de la nuque jusqu’aux cuisses. Le sacripant en redemandait, alors je prenais moralement des notes, en me jurant une nuit de lui faire les mêmes choses et lui prouver que je pouvais faire encore mieux !
Suite à cette expérience, j’ai appris à ressentir une véritable attirance pour les femmes. J’ai tenté de coucher avec un autre homme, un illustre inconnu qui s’était avéré un très bon amant

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Si bon qu’il m’a donné plus de plaisir que mon mari – ce que je ne lui avouerai jamais – mais bien moins bon qu’avec mon adorable libertine !

Alors, oui, j’ai refais l’amour à une autre femme. Et c’était encore divin.

Si intense que je renouvelle l’expérience dés qu’une occasion se présente. Mon mari ne me suffit plus, et ce malgré tout l’amour que j’ai pour lui. Avec une femme, c’est unique. C’est sexuel, charnel, fort et passionné, et même une alchimie si vivace que je me demande des fois si je ne vais pas basculer de façon définitive de l’autre côté… Et, en y réfléchissant, cela ne me gênerait pas de tomber un jour amoureuse d’une autre femme… Ce qui m'arrive sans doute avec ma belle et volcanique Daphné, une superbe Congolaise aux tendances un peu SM. Qui se joue de ma docilité et mes aptitudes insatiables, me soumettant sans états d'âme, dans un sexe agité et furieux.

Qui joue avec le feu…

 

 

 


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